001Un_matraquage_publicitaire::002Une_promotion_sur_les_frais_d'inscription::003Le_buzz_marketing::004Le_bouche-à-oreille::005Le_recours_à_des_clichés
a. – À force de voir des affiches partout sur les abribus, des annonces dans les journaux, etc, j'ai fini par m'inscrire à la Grande école francophile.
– Tu es vraiment influençable !
– Peut-être, mais j'avais vraiment besoin d'améliorer mon accent français.
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b. – C'est le moment où jamais de t'inscrire à la Grande école francophile : il y a un super prix sur l'inscription avec une réduction d'environ 15 % sur le prix normal. En plus, ça te plaira, il y a un laboratoire de phonétique très moderne pour travailler sa prononciation.
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c. – J'ai découvert l'école grâce à un spot publicitaire qui avait eu un succès fou sur Internet : des étrangers du monde entier s'exprimaient avec des accents francophones : parisien, stéphanois, africain, québécois… C'était à mourir de rire.
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d. – C'est un ami qui m'a parlé de l'école. Je n'en avais jamais entendu parler avant.
– C'est normal : on fonctionne surtout sur la base des recommandations. La satisfaction de nos clients est notre meilleure publicité. Ce sont de fervents défenseurs de la langue française… et de notre centre !
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e. – Dans notre pays, le français est une langue minoritaire, non obligatoire à l'école, donc nos apprenants la choisissent pour des raisons affectives. Ils ont souvent une image un peu stéréotypée de la France. C'est vrai que nous jouons avec l'image traditionnelle du Français car c'est ce qui les attire au début. Ensuite, on leur montre que le monde francophone, ce n'est pas que la baguette, la Tour Eiffel et le fromage…
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